Bonjour,
dans le cadre du séminaire d’aide à la diffusion de la recherche que j’anime en 2e année du parcours Géopolitique de l’art et de la culture à l’université de la Sorbonne-Nouvelle, j’avais fait état d’un très intéressant article de la chercheuse Malika Rahal, spécialiste de l’Algérie contemporaine, à propos du blog scientifique qu’elle tient depuis quelques années sous le beau nom de Textures du temps. Elle le présente comme un « incubateur », non seulement pour ses propres recherches mais aussi pour celles d’autres chercheurs et chercheuses qui peuvent lui proposer des articles et ainsi contribuer à la structuration d’un champ de recherche qui peine à exister sur le plan institutionnel.
Ce blog est accueilli sur la plateforme Hypothèses.org et vous pouvez le trouver à l’adresse suivante :
https://texturesdutemps.hypotheses.org/author/texturesdutemps
Quant à l’article, le voici en pdf :
Rahal le carnet de recherche LMS_269_0133 – copie
Travaillant également en partie sur le Maghreb, du point de vue culturel, Mathilde Decuq a réalisé un article de vulgarisation à partir de son mémoire de recherche soutenu il y a quelques mois dans le cadre du master Géopolitique de l’art et de la culture de la Sorbonne-Nouvelle. Ce travail présente plusieurs festivals de cinéma, dont les Journées cinématographiques de Carthage (Tunisie), en montrant leur importance pour le tissu économique et culturel local et national, mais aussi leur rôle de « porte » vers l’international, en dépit de la censure qu’ils doivent affronter à des degrés divers.
Decuq Mathilde -article vulgarisation 2 – copie
Cela me donne l’occasion de saluer le travail effectué par les organisateurs du Panorama des Cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient qui, depuis sa création en 2006 à Saint-Denis (93) ont présenté plus de 800 films tout en organisant un grand nombre d’événements culturels, rencontres littéraires, tables rondes professionnelles, soirées-débat, etc. L’édition 2020 a été fortement bousculée par la crise sanitaire (le festival a lieu entre avril et mai) ; espérons que nous retrouverons ce festival au meilleur de sa forme l’an prochain!
Si Dieu ou le virus le veut.
LM